it won’t be long

Severn, la voix de nos enfants.

En 1992, Severn a 12 ans quand elle s’adresse aux dirigeants du monde entier sur la situation écologique au Sommet de la Terre à Rio. Aujourd’hui, elle en a 29 et elle attend son premier enfant.

 

Le réalisateur a été touché par le discours de la jeune fille et a décidé de faire un long-métrage documentaire en mettant en parallèle le discours de Severn hier et celui d’aujourd’hui, le regard qu’elle porte sur le monde actuel. Que s’est-il passé depuis 18 ans ? Quels sont les engagements environnementaux qui ont été tenus ? A quelles urgences et nouveaux défis le monde doit-il faire face ?

Pour faire écho aux interpellations de Severn et pour répondre de manière résolument optimiste aux désillusions qu’elle pointe, le film de Jean-Paul Jaud prend le pari de mettre en lumière des initiatives positives, menées aux quatre coins de la planète. La question principale étant : « Quel monde laisserons-nous aux générations futures ? ».

Contrairement à son film précédent « Nos enfants nous accuseront » qui était un constat dur mais réel de la situation, ici le réalisateur travaille autour de la phrase de Severn « Make your actions reflect your words » (Faites que vos actes reflètent vos mots). On voit dans le documentaire les projets d’habitants du Canada, du Japon et de France (et Corse). Chacun a décidé de participer à la sauvegarde de notre civilisation et de la planète. Au Japon, Mr Takao Furuno a voulu se lancer dans l’agriculture biologique mais rapidement il se rend compte que le défrichage des rizières se révèle très dur. En 1988 il redécouvre une méthode traditionnelle qui suggère de laisser des canards faire ce travail harassant. L’exemple de Mr Furono démontre qu’il n’est pas essentiel de se tourner vers le bio dans toutes les situations mais de trouver la situation la plus adapter à la sauvegarde de l’écosystème. Côté France, on rencontre Ondine Eliot, 13ans qui est engagé dans la survie des requins. Comme Severn en 1992, Ondine a le devoir d’informer les enfants et les adultes des problèmes environnementaux. Les enfants engagés ont la particularité d’être plus percutant dans leur propos en tant que « génération sacrifiée ».

Cependant le film peine à nous captivé à cause de la longueur des exemples, nous n’en voyons que 6 (j’ai du m’endormir pendant le quatrième), la multiplication de ceux-ci aurai été plus intéressante. Et que dire des éternels « ce n’était pas comme ça avant, c’est pire, dans le temps… » .

Malgré quelques imperfections le film n’en est pas moins intéressant.

« Mon père disait : « Tu es ce que tu fais, pas ce que tu dis ». Ce que vous faites me fait pleurer la nuit. Vous continuez à dire que vous nous aimez mais je vous mets au défi ; s’il vous plaît, faites que vos actions reflètent vos mots. » Severn.

On passe à autre chose, il y a une semaine j’ai eu un gadget que j’aime beaucoup : Le chargeur solaire (tadam). Bon vous savez tous ce que c’est un chargeur solaire hein? On le laisse au soleil et il se charge. Un fois le portable HS on branche le chargeur et hop on peut encore s’en servir. L’avantage ici c’est les multiples adaptateurs que l’on peut bancher au chargeur (blackberry, mini et micro usb pour charger sur un ordinateur, I-Phone, Nokia, Samsung, Sony Ericsson, Motorola V-8) pas mal non? Pour ceux qui se retrouve perdus dans la nature sans prise, perdus sur une barque au milieux de l’océan, ou juste sans batterie ce chargeur peut-être utile. Vous pouvez le trouver ici pour vous faire une idée cependant il me semble que seul les professionnel peuvent passer commande sur ce site voilà donc une petite sélection:

-le freeloader pico

-le solaire clap

-le rose